Le texte n’était pas facile (Juste la fin du monde de Jean-Luc Lagarce) … et pourtant, c’est avec beaucoup de talent et de justesse que Bénédicte Lesenne s’en est emparé (incarnant à elle seule tous les personnages) pour nous faire vivre l’ambiance de ce dimanche où toutes les tensions se révèlent au sein de la famille… … une lecture scénographiée appuyée par la mise en musique et l’accompagnement de Jean-René Martel.

Une création de la 56ème compagnie qui mériterait d’être diffusée dans d’autres lieux  …